Nom : SPIGA
Prénom : Pascal
Surnom : Goutte
Postes : talonneur
Age : 64 ans le 31 mai
Métier : retraité et à l’occasion commercial dans la vinasse histoire de me changer les idées
Allez présente toi rapidement !
Pascal alias Goutte, j’ai commencé le Rugby en 1968 à la porte Pouchet dans le 17e à Paris.
Ensuite je suis parti jouer jusqu’en junior au Red star, le club Pouchet n’avait qu’une école de rugby.
En 1974 je me suis engagé dans l’armée pour 3 ans en partance pour l’Afrique ; en revenant je me suis marié et j’ai repris le Rugby en 1983 à Noisiel (club qui n’existe plus !) puis j’en suis vite parti à cause de l’ambiance. J’ai rejoint le club de Lagny où j’ai trouvé une bonne ambiance avec des mecs de valeurs et qui ont le sens de l’amitié .
J’ai ensuite intégré l’école de Rugby comme éducateur puis j’ai fondé l’équipe folklo qui a ensuite été reprise par mon pote Jacques Ferrer.
Comment c’est passé ce confinement ? T’as tué personne ?
Non je suis resté chez moi et j’ai fait du jardin.
Quel est le match de Lagny qui t’a le plus marqué ?
C’est la finale de championnat IDF réserve en 1993 contre le Stade Français. J’ai joué contre Max Guazzini !
Quel est ton meilleur souvenir à Lagny ?
L’accueil que les joueurs m’ont fait à mon arrivée au club en 1987. On a terminé à Chanteloup avec les quillanais ouffff....
Et ta plus grosse frustration/déception à Lagny ?
Lorsque le club a failli disparaitre au début des années 2000 avec la fusion avec Meaux !
Raconte nous ta meilleure troisième mi-temps ?
Il y en a eu beaucoup mais celle dont je me souviens c’est celle où j’ai dû imiter Johnny Halliday sur le comptoir. Certains joueurs ont des photos compromettantes (ils se reconnaitront…)
Avec quel joueur tu ne voudrais surtout pas être confiné ?
Avec Mastro, il ronfle trop on dirait un cheval.
Si tu devais associer une chanson à l’AS Lagny ?
« En descendant la rue grosse coui....!!!! »
Ton mot ou expression qui te fait penser à Lagny ?
« aux jambes » bien sûr !
Quelle personne (joueurs/anciens/dirigeants/supporters, ...) souhaites-tu pour la prochaine interview ?
Jeremy PLAULT.
Et pour finir, est-ce que tu vends enfin du bon vin ?
Oui ça m’arrive encore, je t’en mets combien de caisses ?